La racinerie fait à la Rts des ravages Par Alioune Ndiaye

 

Sans nul doute, la plainte dénonçant les dérives du bout d’homme fait des ravages au triangle sud. C’est ce qui explique le retour en surface du mercenaire à travers un post truffé de « vin rouge » et publié dans les réseaux sociaux.

Évidemment, une plainte déposée à l’Ofnac annonce toujours un départ inattendu. Et cette fois-ci, la plume du mercenaire a tardivement réagi pour tenter de calmer une opinion acquise à la cause syndicale depuis longtemps du fait de l’incompétence notable du natif de septembre, à la retraite il y’a des années.

Lui, le mercenaire, adepte des plumes empruntées, se prend pour un bon lave-vaisselle mais il reste une crasseuse machine grippée. Il rage, enrage, bave sans cesse et se gave de médicaments tout le temps.

Cette fois-ci, c’est mal parti et mal tombé.

Son maître en a fait un drogué, un excité permanent, un mal nécessaire qui fait le tour des sites et réseaux sociaux pour salir ceux qui se dressent contre la racinerie. 

Tel un petit rottweiler galeux, aux cheveux râpeux, il ne descend jamais du balcon pour aller mordre. Il ne sait que troubler la cohabitation par des rots bouillamment répétés. 

Quel petit chien baveux…

Il ne sait que suer et puer sans cesse.# L’homme est si loin de la réalité, de la dignité et de toute vérité.

Personne ne le fréquente à la Rts

Même son maître n’ose pas l’envoyer en reportage.

Alors, pourquoi lui accorder le moindre espace dans un site d’information.

Cette tribune ne vient pas répondre aux faux arguments prêtés à untel dans le but de porter ombrage aux syndicats. Cette tribune vient seulement informer l’opinion sur l’état psychique d’une personne qui déprime. Notre prime est d’éclairer ou de révéler. La maladie de la racinerie fait à la Rts des ravages incommensurables et épargne peu de gens.

Le premier des patients s’appelle Aliou Diop, un nom de guerre dont l’identité se trouve dans un mal absolu fait d’avis corrompus et d’abus… 

L’homme se bat à l’aide d’une plume enragée, arpente tous les couloirs de la mort mais ne porte jamais d’idée. Son mot préféré est la conjonction « si ».

La documentation numérique révèle que « SI » est une conjonction de subordination ou ce qu’on appelle une subjonction.

On la qualifie aussi de « subordonnant », puisque utilisée pour relier une phrase subordonnée à une phrase principale, dont elle dépend : elle marque la dépendance entre les phrases qu’elle relie.

Pour tout dire, Aliou est un dépendant. Tout comme ses complices… 

Et c’est comme cela que fonctionne la racinerie. Elle vous trouve en pleine possession de vos moyens, vous attire, vous pervertit, vous use et vous abuse… 

En vérité, Aliou Diop avait du talent, beaucoup de talent même.

Aujourd’hui, à force de se droguer « pour se soigner et guérir de la racinerie » comme il dit, l’homme est devenu un agent en perpétuelle crise.

En fait, s’attaquer à l’activité syndicale est art et maladie à la Rts.

Une pathologie appelée la racinerie, faisant des ravages dans tous les services ou presque, donnant des privilèges à tout travailleur, si cancre soit-il, qui insulterait un syndicaliste ou porteur de projet constructif… 

Une vraie « petite enfance » institutionnalisée dans une crise au cœur de laquelle tous les patients, comme Aliou Diop, passent et repassent devant la case des « damnés en panne de cris ».

Il est vrai que, dans la doctrine, tout patient est à récupérer pour l’amener à négocier un avenir même perdu d’avance… dans un « ultime combat de boys ».

 Mais, la réalité reste tenace.

La racinerie est un mal profond à bouter hors de la Rts. À défaut, ce sont les fameux chats à la chevelure rêche, vivant le long de la grande côte atlantique, si forts de leurs cosmogonies, qui vont savamment déplumer la « petite enfance » d’une colère noire, d’une cola rouge et de pierres écarlates.

Ce jour-là, mon cher Aliou, point d’aile, tout sera au point mort. Et, il n’y aura personne pour t’assister et te conduire aux urgences. Tel un film qui dévoile, au ralenti, la fin tragique de cette « petite enfance » titubant au moyen de mille et une dives bouteilles, l’absolu révèle tout.

Quelle(s) image(s) !

Une musique faite de gazouillis !

Dans une autre séquence et trame empreinte d’effets, l’absolu met en garde un « loup-garou » qui sème la terreur partout. 

Avec ses (im)pairs, il provoque tout le temps des conflits entre les victimes de la racinerie.

Plus que horrifique, le film est même apocalyptique… Au-delà du mystère et de la cruauté, il y’a chez cette « pathologie lycanthrope » qui, la nuit, se transforme en « créature hors du commun » pour tromper les enquêteurs, une peur inouïe qui « attaque, terrasse et tue » le patient. Horrible.

Et, comme le combat pour la survie est un droit universellement consacré, il a été impératif et impérieux de stopper la racinerie pour « se libérer et se sauver »…

Mon cher Aliou, il n’y a pas que la fiction qui fait peur et crée des troubles de sommeil. La réalité s’en défend aussi…

Le potentat est viril, tel un post qui se partage à foison à travers les réseaux sociaux.

La guillotine passe et repasse comme un fer à repasser. Les larmes coulent à flot.

Les salaires sont coupés sans raison et, les têtes pensantes jetées à la poubelle sans calcul.

Trempé dans de fortes liqueurs d’un paganisme ancien, le marketing du panurgisme y fait loi et foi.

Les agents dénoncent, sans rompre.

L’écho du mal fait grandement débat et actualité mais ne saurait cacher la possibilité de s’éloigner du mal pour enfin, voir, avoir et savoir un audiovisuel public à manager DIFFÉREMMENT.

Il est vrai qu’il ne reste que le décret divin, celui à signer par le choix populaire l’est déjà depuis des lustres. 

Bon rétablissement, cher Aliou.

Bon retour parmi les sauveurs de la Rts.

Par Alioune Ndiaye, journaliste indépendant

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